Leurre éternel (musique et paroles :
Nicolas de Renty – 2020)
Quand
croyant
rime
avec
crédule
La
foi
passe
pour
ridicule,
Et
c'est
ainsi
que
savamment On vend l'athéisme aisément.
La
laïcarde
république
Fondée
sur
cette
sophistique
Corrompt
des
masses
les
esprits Pour qu'elles restent endormies.
La
kalergienne
soupe
humaine
Que
visent
ces
calembredaines
Sera
pour
les
âmes
perdues L'impasse dont on ne sort plus.
Quant
aux
autres
restées
fidèles
À
leur
bienfaiteur
éternel,
Voici
la
manipulation
Concoctée à leur intention:
Poussant
les
leurrés
du
croissant
Contre
les
dignes
descendants
Pour
qu'une
inutile
friction Mène à leur extermination,
L'antique
uniformisateur
N'oeuvre
qu'à
voir
venir
son
heure
Se
servant
de
la
secte
impie
Pour orchestrer cette infamie.
Autopsie d’une éclipse (musique et paroles : Nicolas de Renty - 2020)
Fille
aînée
de
Celle
écrasant
Des
pieds
la
tête
du
serpent,
La
communauté
que
forma
L'un
des
grands
oints
du divin droit
Se
complaît
dans
son
ignorance,
Coupable
qu'elle
est
d'indolence
Tant
les
larbins
du
tentateur
La
maintiennent dans sa torpeur.
Ainsi manipulée depuis Près de deux siècles et demi, Fière d'elle l'ont-ils rendue De son parricide statut,
Bien inconsciente qu'un tel crime Ouvre les portes de l'abîme Où l'on ne vit qu'assujetti À l'autocratique profit.
Ce
morne
sommeil
ici-bas,
Des
âmes
le
sombre
trépas,
Prépare
à
ceux
qui
s'y
prélassent
En
des
feux
perpétuels la place.
Mais
c'est
avant
d'y
bien
rôtir
Qu'en
ce
monde
les
tristes
sires
S'adonnent
à
leur
ambition
D'étendre
leur
domination.
Le
profit
donc
est
ce
moteur
Qui
possède
jusqu'à
leurs
coeurs,
Ne
pouvant
s'arrêter
que
quand
L'un
d'eux
sera le plus puissant.
Régnant
sur
tout
cet
orgueilleux
Voudra
même
vider
les
Cieux
En
conditionnant
les
psychés
À
ne
jamais
s'y
élever.
Régicides
et
faux
conciles
Sont
les
armes
les
plus
habiles
Pour
préparer
l'avènement
De
cet
ignominieux
tyran:
Un
seul
être
maître
des
masses
Serviles
et
rangées
par
classes,
Antagoniste
de
Celui
Qui
vint
libérer
les
esprits.
Après
l'immolation
du
père
Et
l'intrusion
de
maison
mère,
Répandant
chez
Pierre
sa
plèbe
Il
est
l'égal
du
roi
de Thèbes.
Ses
ouvriers
font
du
Saint-Siège
L'antre
de
l'ancien
sacrilège
Qu'entreprit
Nemrod
en
son
temps
En
en
perfectionnant les plans.
Dissimulée
sous
l'apparence
D'une
mielleuse
déférence
Pour
le
principe
souverain
De
l'unité
du
genre
humain,
Cette
suave
et
douce
chimère
Miroitant
l'Empyrée
sur
terre
Vise
à
l'uniformisation
Qu'induit
la
ruine
des
nations.
Point
de
patrie,
point
de
racines
Pour
obtenir
l'homme-machine
Dont
est
l'animique
substance
Livrée
aux
malignes instances,
Car il avait bien été dit À celui de qui les impies Se prétendent les descendants Malgré l'absurde reniement
Qu'il serait la sainte origine D'une diversité divine De quoi l'ample voûte stellaire Offre un aperçu similaire.
Les
feints
serviteurs
du
Très-Haut
Qui
du
cornu
sont
les
suppôts
OEuvrent
au
fin
remaniement
De
ce
prophétique serment
Privant
ainsi
tout
être
humain
De
son
salutaire
destin
Pour
que
celui
qui
doit
venir
Voit
bâtit
son
funeste
empire.
Ne
pouvant
plus
compter
que
sur
Ce
qu'en
nous
a
su
rester
pur
Du
fait
que
le
noble
édifice
Se
trouve
éclipsé
par le vice,
Sachons
révoquer
ces
desseins
En
un
conclave
que
chacun
Étant
à
la
Grâce
fidèle
Peut
conclure
avec
l'Éternel.
Métallifugue (instrumental) (musique : Nicolas de Renty – 2021)
Retour au bercail (musique et paroles : Nicolas de Renty – 2019)
Allons
enfants
du
Dieu
Unique
Diffamons
tous
l'idole
inique
Que
l'on
voit
servie
ici-bas
Par
toute
une
foule
de
rats
Poussant
encore
à
entonner
Après
plus
de
deux-cents
années
L'hymne
aux
encensés
mercenaires
Soudoyés
sur la Canebière.
Bien
des
deniers
de
nos
aînés
Furent
détournés
pour
payer
Ceux-là
mêmes
qui
sont
venus
Piller
et
tuer
dans
leurs rues.
L'on vend encore ces moments Tel le glorieux avènement D'un idéal de liberté Dont les peuples auraient rêvé
Pour
cacher
les
desseins
malsains
Calculés
par
les
‘’gens
de
biens’’
D'exploiter
la
masse
asservie
Pour
davantage de profits.
Les
chiens
ne
faisant
point
des
chats,
L'on
a
donc
aujourd'hui
ces
rats
Parés
comme
des
géomètres
Pour
être
en ce monde les maîtres;
Tels
des
architectes
experts
Ils
bâtissent
la
nouvelle
ère
Grâce
à
leurs
kapos
dévoués
Qu'ils
façonnent
à
volonté:
Tant
les
milieux
conventionnels
Que
ceux
qui
se
veulent
rebelles,
Ces
ignorants
servent
leur
cause
Inconscients qu'ils sont de ces choses.
Pseudo
rap
de
faux
dissidents
Agenouillés
devant
l'argent
Qui
suivent
le
même
chemin
Que
tous
les
autres
veaux humains.
Les
hargneux
chevelus
eux-mêmes
Qui
raillaient
hier
ce
système
Ont
dû
s'y
soumettre
à
présent
Comme
du
marché les plus grands.
Cocus
sont-ils
d'imaginer
Être
loin
de
ces
simagrées,
Portés
aux
nues
qu'ils
sont
pour
faire
Briller
l'éclat
de
Lucifer.
Sous
leurs
airs
de
libres
penseurs
Mais
poussés
par
maints
producteurs,
Servent
à
capter
l'attention
Pour
empêcher la réflexion.
Cette
farce
est
idolâtrée
Par
combien
d'âmes
aveuglées...
On
la
verra
choir
à
son
tour
Comme
à
Babel
tomba
la tour.
Allons
enfants
du
Créateur
Attendons
fermement
Son
heure:
L'ordre
nouveau
qu'ils
ont
en
vue
Sera
soufflé
tel
un fétu.
Traquenard (musique et paroles : Nicolas de Renty – 2020)
Face
à
la
cosmique
harmonie,
Où
y
a-t-il
moins
de
duperie:
Chez
ceux
qui
n'y
voient
qu'aléa,
Ou
ceux
qui
en
un dessein croient?
Ni
dieu
ni
maître
clame
qui
Se
veut
être
un
homme
affranchi,
Ignorant
par
ce
bel
adage
Que
son
pauvre
esprit
gît en cage.
Car
à
défaut
de
librement
Consentir
au(x)
céleste(s)
plan(s),
Chacun
de
ce
monde
est
l'esclave
Que
l'aveugle
réel enclave.
De toutes les conspirations Nourrissant l'imagination, La seule qui soit effective Remonte à l'antique dérive,
Quand
le
lumineux
adversaire
Voulu
prouver
au
Divin
Père
Que
jamais
Son
Verbe
Incarné
N'accomplirait
Sa
destinée.
En
usurpant
le
divin
droit,
Bien
de
la
vermine
ici-bas
Fit
passer
les
pieuses
doctrines
Pour
du
résidu
de
latrines.
Les
voici
donc
aisément
tues
Dans
l'ère
actuelle
sans
vertu(s)
Afin
que
céans
soient
gardées
Toutes
les
âmes
enchaînées.
Sentence (musique et paroles : Nicolas de Renty – 2021)
L'union
sacrée
décisionnaire,
Formée
de
bouseux
va-t-en-guerres,
Joue
ici
son
dernier
joker
Qu'est
la
panique sanitaire.
L'irrémédiable
effondrement
N'a
pas
trouvé
mieux
comme
écran
Que
la
mielleuse
tromperie
D’une
mystique
pandémie.
Contre
l'éveil
inévitable
De
Spartacus
en
son
étable,
De
tels
subterfuges
bâtards
Auront
fait
du
monde
l'Histoire:
Des
grossiers
mensonges
d'Ulysse
Scellés
par
d'iniques
milices
Aux
attaques
sous
faux
drapeaux
Que
masquent les conflits mondiaux,
L'historiographique
fiction
Dissimule
bien
sa
fonction
De
n'être
qu'à
travers
le
temps
L'autobiographie
de
l'argent.
Cette
machine
moribonde
Telle
la
sangsue
de
ce
monde
Se
nourrit
des
fils
du
Très-Haut
En
leur
formatant
le
cerveau:
"Travaillez
plus
les
besogneux
Ou
escroquez,
vous,
les
vicieux
!
Faîtes
à
votre
convenance
Tant
que
vous
servez la finance...
Ainsi
restez-vous
séparés
De
votre
noble
destinée:
Celle
d'accueillir
humblement
Le
Verbe,
auteur
du
firmament."
C'est
donc
au
prince
d'ici-bas
Que
revient
encore
une
fois
L'immonde
charge
de
tenir
Les
rênes
du
funeste
empire
Dont
les
prétendus
dirigeants
Non
moins
cravatés
que
pédants,
Ne
sont
que
vulgaires
pantins
Instrumentés
par le malin.
La
baisse
du
taux
de
profit
De
leur
labeur
l'unique
fruit
Les
balaiera
tout
simplement
Et
rendra
à
l'homme
son
rang,
Car on verra la convoitise Mise à bas par l'ultime crise, Parachèvement de l'innée Caducité de la monnaie.