BOB SALIBA – HOSTS OF A VANISHED WORLD
LA CHRONIQUE DE GUILLAUME
LES SEIGNEURS DU METAL
Le
guitariste
de
KingCrown
(Ex
Galderia
aussi),
accompagné
d’amis,
de
grand
nom
et
d’invités
nous
sort
son
premier
effort
solo.
Un
album
qui
se
veut
plus
ouvert
et
ainsi
montrer
d’autres
facettes
de
sa
personnalité.
Je
dois
avouer que je suis très curieux depuis que j’ai entendu parler de ce projet, alors maintenant allons écouter cela.
On
débute
notre
découverte
par
“Introspection”
qui
nous
accueille
de
manière
douce
avec
quelques
arpèges
et
une
voix
des
plus
calme.
Un
début
surprenant
pour
un
opus,
qui
heureusement
prend
son
envol
avec
une
sorte
de
Hard
Mélodique.
Un
1er
morceau
aux
qualités
certaines,
dont
cette
mélodie
folk
en
arrière
plan
très
bien
trouvée.
À
la
suite
“Excavations”
sonne
de
manière
plus
AOR
à
la
façon
d’un
Journey.
Les
interventions
acoustiques
et
les
sonorités
Grecques
enrichies
bien
la
musique
sans
l’alourdir.
Le
travail
de
John
Macaluso
(Ex
ARK,
Ex
Yngwie
J
Malmsteen...)
à
la
batterie
est
intéressant.
Un
musicien
hors
pair
qui
accompagne
notre
artiste
durant
tout
cet
opus.
Je
dois
avouer
que
je
trouve
que
la
production
manque
de
relief
et
aurait
gagné
à
être
plus
organique
au
vu
du style proposé.
Place
au
1er
extrait
:
“Entropy
(Radio
Edit)”,
qui
propose
un
Hard
Rock
ultra
léché
qui
m'a
rappelé
mes
amis
de
Lightseekers.
Un
single
qui
fonctionne
à
merveille
tant
elle
reste
encrée
dans
la
tête
!
Une
vraie
maitrise
de
la
mélodie
!
“Transposition
(Radio
Edit)“
met
en
avant
John
Macaluso
avant
de
nous
offrir
du
pur
Hard
Rock
pur
jus.
L’ombre de Paul Stanley (Kiss) est présente sur le chant tout en maitrise de Bob. .Un pur bonheur que ce titre !
Avec
“Into
the
Lab”
on
trouve
un
esprit
plus
70’
et
prog
à
la
manière
d’un
Toto
voir
Kansas.
La
suite
plus
Rock
et
énergique
fait
taper
du
pied
et
nous
emmène
ailleurs.
Bob
démontre
vraiment
un
sens
de
la
composition
aiguë
et
surtout
une
volonté
de
ne
pas
se
mettre
de
barrière.
Un
peu
de
calme
avec
la
bien
nommée
“Reflections”,
qui
permet de se poser et de profiter des mélodies acoustiques ainsi que d’un chant tout en douceur.
La
guitare
saturée
ouvre
un
“Rivality”
bien
plus
agressif
que
ce
qu’on
a
pu
avoir
depuis
le
début
!
Un
riff
complexe
mais
qui
se
marie
bien
à
l’ensemble
et
surtout
reste
gravé
dans
la
tête.
Là
encore
c’est
du
lourd
avec
ses
chœurs
maîtrisés.
Un
petit
interlude
instrumentale
et
folklorique
à
la
manière
d’un
Led
Zeppelin
avec
“Saphire”,
qui
nous
fait
voyager,
avant
“To
the
Zenith”
dernière
pièce,
qui
garde
cet
esprit
folklorique
jusqu’à
ce
que
le
rythme
puis
le
Hard
Rock
n’arrivent.
Un
invité
en
la
personne
du
très
grand
Jo
Amore
(Ex
Nightmare,
KingCrown)
vient
poser
sa
voix
magique sur ce titre progressif mais efficace.
Conclusion
:
Pour
son
1er
effort
solo
Bob
Saliba
nous
offre
de
vraies
bonnes
idées
qui
auraient
mérité
une
production
plus
adaptée.
Reste
9
compositions
ultras
agréables
et
très
bien
composées.
Aller
vite
découvrir
cette
version collector limitée à 150 exemplaires.